Critique à l’expo sur Eggleston.

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william-egglestonEggleston est une des personnalités les plus importantes pour ce qui concerne la photographie des années ‘ 60 et ‘ 70.
L’exposition que j’ai eu la chance de visiter se trouvait à la fondation Cartier-Bresson, un photographe qui a inspiré Eggleston. En effet, Eggleston est influencé par des artistes comme Picasso, par le Surréalisme, et par Andy Warhol, pour les couleurs typiques de l’époque.
Personnellement, j’apprécie beaucoup les expositions et de peintres et de photographes: simplement parce que c’est intéressant de comprendre le point de vue des autres, des artistes, et leur conception de l’existence.
Les photos se divisaient en photos à couleurs et photos en noir et blanc : l’auteur est particulièrement intéressé à faire remarquer cette différence aux spectateurs. On doit pourtant trouver ce qui les rend différentes, mais aussi très proches.
Elles sont, en effet, différentes parce que celles en blanc et noir ressemblent à des instants qui n’ont pas un temps défini; celles à couleurs sont, au contraire, le témoignage d’une société nouvelle. Ce qui les rend proches ce sont les thèmes choisis.
La solitude de l’homme, les rues, la banalité de la vie sont ses thématiques principales.
Pour ses photos il s’inspire aussi au point de vue des chiens.
C’est vraiment intéressant de pouvoir remarquer la banalité et le quotidien dans ses œuvres pour les retrouver dans sa propre réalité de tous les jours. .
L’artiste cherche vraiment les instants les plus particuliers pour ses photos.
Celui de Eggleston c’ est le portrait d’une Amérique nouvelle, au milieu d’un renouvellement technologique et social, mais qui reste inchangé pour la banalité et solitude humaine.

Carolina Sprovieri (4B)- correspondant de Paris, France

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