Le 24 septembre 2014 l’annonce de la décapitation d’Hervé Gourdel, l’otage français aux mains des djihadistes en Algérie, tombe comme une bombe en France. La France réalise le deuxième coup de raids aériens sur l’Irak et la France est en lutte. Le 25 septembre 2014 le premier ministre irakien, Haydar Al’Abadi, met en garde l’Assemblée de l’Organisation des Nations Unies à New York en disant que dans leur point de mire, il y a les États-Unis et la France. Le premier ministre français Manuel Valls a été averti de la menace de Bagdad, il doit agir vite et protéger la population. Le seul bout des djihadistes c’ est la destruction de la civilisation. Les groupes extrémistes, de l’Irak à la Syrie, qui sont en train d’ enflammer le Moyen-Orient ont une seule idéologie, la violence et l’extrémisme.
La France, mais surtout Paris est en alerte , il faut à tout prix prévenir les “risques terroristes”. Au lendemain de l’assassinat d’Hervé Gourdel, les forces françaises de sécurité, ont renforcé leur vigilance. Le président François Hollande a convoqué un conseil de défense extraordinaire . Celui-ci a débouché sur des mesures de prévention antiterroriste qui vont être renforcées dans les lieux publics et les transports. Environ 140 patrouilles de policiers, gendarmes et militaires sont chaque jour mobilisées. Ils garantissent une sécurité maximale, surtout en période d’extrême vigilance. Les gens sont plus attentifs, ils signalent davantage les valises abandonnées et les paquets suspects qui traînent. Mais la France a aussi annoncé le renforcement du dispositif militaire engagé en Irak dans le cadre de coalition internationale conduite par les Etats-Unis. Paris s’inquiète mais ne panique pas!!
Lucrezia Tabacchin (4B)- correspondant de Paris, France